Un nombre de patients positifs en augmentation au sein de nos hôpitaux.

Il semble que le pic de la 7e vague COVID ait été atteint ce 17 juillet 2022 au sein de la population. Dans la mesure où nos établissements ressentent les effets 15 à 20 jours plus tard, nos professionnels connaissent donc toujours une tension constante mais modérée tant au niveau du nombre de patients pris en charge qu’au niveau des soignants eux-mêmes positifs. La très grande majorité des patients positifs est toujours asymptomatique et n’est pas prise en charge pour raison COVID.

Ainsi, nos équipes prennent en charge ce jour 12 patients hospitalisés pour motif COVID dont 2 en soins intensifs et 1 en réanimation :

  • 10 au CH de Béthune Beuvry, dont 2 en Soins Intensifs ;
  • 2 au CH de Lens, dont 1 en Réanimation.

En cohérence, nous n’avons pas mis en œuvre de capacitaire dédié en plus des dispositifs existants dans les services. Nous nous tenons prêts à l’organiser si cela s’avérait nécessaire, avec un nombre de lits au plus près du besoin.
En sus des patients pris en charge pour motif COVID, nous avons identifié 52 patients positifs pris en charge pour d’autres motifs et ne souffrant pas de la pathologie COVID au sein de nos hôpitaux :

  • 23 au CH de Béthune Beuvry ;
  • 1 au CH d’Hénin-Beaumont ;
  • 28 au CH de Lens.

L’augmentation du nombre de patients positifs est concomitante à une tension forte sur les urgences. Nous appelons donc la population à être prudente, à respecter les gestes barrières en cas de suspicion COVID, près des personnes fragiles ou dans les situations de promiscuité, à se faire vacciner, et à ne venir aux urgences que si la situation l’exige réellement.
Pour rappel, le port du masque est toujours requis au sein des établissements de santé. Leur accès reste soumis à la présentation d’un pass sanitaire (pass vaccinal ou test de moins de 24h), sauf pour les urgences, les visites en Soins Palliatifs, les séances d’Hémodialyse, la PASS (Permanence d’Accès aux Soins de Santé), les consultations de médecine légale et la rétrocession de la pharmacie.